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24 mars 2023

PlanetSolar - Turanor Planet Solar - Race for Water - Porrima Le destin tragique de ce bateau

Tous les marins savent que rebaptiser un bateau porte malheur, à moins que  ...

extrait du site   

Pour débaptiser un bateau, c'est possible : il faut tuer le macoui !

Contrairement à une idée reçue, changer le nom d'un bateau est possible, à condition de respecter un cérémonial très précis destiné à conjurer le mauvais sort et éviter de graves déconvenues à ses passagers. Il suffit en fait de tuer le macoui...

http://www.leporimarine.ch

 

POUR DÉBAPTISER UN BATEAU, C'EST POSSIBLE : IL FAUT TUER LE MACOUI !

Contrairement à une idée reçue, changer le nom d'un bateau est possible, à condition de respecter un cérémonial très précis destiné à conjurer le mauvais sort et éviter de graves déconvenues à ses passagers. Il suffit en fait de tuer le macoui...

Dans le riche bestiaire maritime, le macoui serait ce grand serpent qui suit en permanence le bateau ; en clair, son sillage. Or chaque bateau a un sillage qui lui est propre ; sorte de signature unique. Du coup, pour rebaptiser un navire sans s'attirer les foudres de Neptune, il faut couper le macoui d'origine. Une procédure relativement bien codifiée dont seuls quelques détails varient d'une région ou d'un bassin à l'autre.

L'opération se déroule toujours en mer, à bord du bateau à débaptiser qui doit être accompagné d'un bateau "ami". La première étape consister à saouler le macoui afin d'endormir sa méfiance, en versant pour cela une bonne dose du meilleur alcool du bord, à l'arrière du bateau à rebaptiser. Le bateau accompagnateur en profite alors pour couper plusieurs fois (au moins trois, mais dans le doute, abondance ne nuit pas) le sillage de celui qui le précède, en manoeuvrant le plus près possible de son tableau arrière car c'est là qu'est censée se trouver la tête du serpent. Une fois le macoui bien mort, l'équipage rebaptise le bateau en prononçant son nom à haute voix et sert une rasade d'alcool à son nouveau macoui. Il est important également de remercier Neptune qui a présidé la cérémonie, en versant dans la mer, côté tribord, une bonne rasade de ce même breuvage. Certaines variantes exigent que la marraine du bateau soit présente durant toute la cérémonie, d'autres imposent que le breuvage soit exclusivement du champagne, d'autres encore assurent que le macoui ne peut être déclaré définitivement mort qu'après avoir été achevé d'un coup de canon (un peu compliqué...) ou de fusil (pas évident de brandir une arme chargée par les temps qui courent...).

 

 

Pour preuve le tragique destin de PlanetSolar. 

Pour en savoir pljus visiter les site suivants : 

L'ex-Planet Solar, échoué en Inde, perd son pavillon suisse

Après son naufrage en août 2022, le catamaran expérimental suisse Planet Solar n'a jamais repris la mer. Depuis plusieurs mois, il gît dans le port de Mumbai et les autorités fédérales lui ont retiré son pavillon helvétique, révèle dimanche le Pôle enquête de la RTS.

https://www.rts.ch
Sauvetage en mer d'Arabie - L'ancien PlanetSolar s'est échoué au sud de Mumbai

Raphaël Domjan, qui a réalisé le premier tour du monde à l'énergie solaire entre septembre 2010 et mai 2012 à bord du catamaran MS Tûranor PlanetSolar , a posté sur les réseaux sociaux que le bateau s'était échoué vendredi au sud de Mumbai. Les membres de l'équipage ont été secourus par les garde-côtes indiens.

https://www.tdg.ch
Le bateau

Le 25 février 2010, PlanetSolar est dévoilé à Kiel devant plus de 200 invités. Peu après, le 31 mars, le plus grand catamaran du monde touche l'eau pour la première fois dans le port de Kiel, accompagné d'une émotion non dissimulée pour l'équipe qui a permis ce moment.

https://www.planetsolar.swiss



 

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